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Philhelm Philhelm
( France )

Peinture


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Philhelm Philhelm

En vérité, je vous l'écris sans menterie, toute l'histoire de Philhelm, commence en Alsace au château de Lichtenberg, le 23 Avril 1616, lorsque Balthasar Helmlinger âgé de 7 ans, perd le Monogramme de son descendant éponyme. Ce banal et néanmoins gravissime incident dans le lointain passé, déclenchera la vocation artistique d’un de ses descendants, 10 générations plus tard ! Ce peintre d’aujourd'hui, né à Strasbourg en 1943, a vu son œuvre exposée et primée deux fois dans sa vie (1999 et 2001), et ce, uniquement à la « Biennale Internationale d’Art Contemporain de Florence » qui lui a attribué en 1999 le Prix de la Ville de Florence. Pour que le vulgum pecus soit totalement dépaysé de son vécu, qu'il laisse sans hâte entrer en lui l'histoire, chaque jour enrichie de notre passé ancestral commun : qu’il soit étrusque, minoen ou babylonien, sinon il ne pénétrera jamais à l'intérieur des tableaux, pour tenter d'y découvrir les causes secrètes des choses. Philhelm décline les couleurs dans une correspondance avec les images et les écritures originelles pour retrouver une infime histoire du passé dans laquelle son monogramme aurait toujours été présent tel un archétype. Ce renouveau depuis quelques années, il a essayé de le révéler parce que les Dieux sont venus un jour à sa rencontre ! Ils daignèrent lui présenter leurs messagers en héros accompagnés de leurs sphinx : Qu’ils lui pardonnent s’il ose les citer dans la joie de son cœur, même s’il ne met nulle mauvaise honte à leur demander grâce. S’il essaye de faire renaître par ses légendes, quelques bribes d’une connaissance perdue, et en vérité immortelle et sacrée, il le doit uniquement aux travaux de nombreux archéologues et historiens. Il ne fait point vanité de son ouvrage. Dut-il de toute sa vie, croire ne rien produire de bon et de beau, il n’en sentira pas moins une joie réelle et profonde à goûter ce qu’il reconnaît et ce qu’il admire de beau et de grand chez d’autres, eussent-ils été étrusques, crétois, assyriens ou sumériens.


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